Firebird's profile

×Très rapidement après le début de mon aventure, j'ai eu l'agréable surprise de trouver un attachant compagnon : une chèvre amicale, particulièrement flexible (Strech Goat, blague récurrente du KS); Malheureusement, elle porta son dévolu sur moi à un moment où j'étais affamé.
* Hésitation *
Non. Quitte à mourir, je ne mangerai pas cet animal qui me fait ses yeux de biche euh... de caméléon ? (elle bigle un peu la chèvre, non ?!). Je parviens finalement à survivre in-extremis et reprend mon chemin... jusque devant la Déesse !

×Fort de mon expérience avec le compagnon précédent, je fis tout mon possible pour épargner le gentil chien à la croix de guerre, malgré sa face baveuse. Le dressage ne posa pas de difficulté particulière bien que je réalisa que mon français le plus mondain ne semblait pas fonctionner. Heureusement, je suis Victor Frankenstein, médecin de Zurich ! La preuve, c'est marqué sur mon CV (texte d'ambiance du perso). Donc point d'hésitation : je décidai de parler allemand à ce toutou docile.
...
C'est bien joli. Mais IRL, je capte pas un mot d'germain, moâ !!
...
L'animal finira par me suivre jusqu'à ma mort, sans avoir jamais dénié m'aider. Sale bête.
(J'avais tout de même traduit la capacité avec le smartphone, mais pas eu l'occasion de l'utiliser.)

×Ferdinand est un survivant.
Ferdinand est prêt à tout pour atteindre son objectif.
Il sait économiser ses forces en laissant sa morale de côté.
Ferdinand, c'est pas l'ami des bêtes.
Arrivé dans le désert: Paf le chien.
Non mais ho ! Il était l'heure de roupiller, là ! Pas de faire des papouilles à un sale clébard !

×Arg. Je me meure ! Je suis là, dans le désert, rebroussant chemin vers ...
Mais vers où aller en plus ? Oui, il y a ce code gravé que je veux comprendre. Je suis sûr d'avoir continuer trop vite ma route lors de mon passage dans la vallée. J'ai un but. Mais je n'ai pas la force ! Sur le parcours, je sais que les animaux se sont enfuis et d'ailleurs, je n'ai plus la force de chasser. J'ai tout sacrifié pour survivre quelques minutes de plus. Que faire ?
* S'approche du pont, titubant. *
Mes jambes ne me portent plus. C'est la fin.
* Regarde le torrent au fond du gouffre, avec une sérénité étonnante. *
Une idée germe. L'eau coule vers le sud, vers la vallée. Et si mourir je dois, ce sera avec panache !
Avec la détermination de l'explorateur acculé, j'ouvre les bras. Je tends la jambe dans le vide. Je bascule. La chute est interminable et l'air si froid que je perd connaissance avant même de toucher l'eau du torrent.
Le temps passe.
Mon inconscient s'attend à entendre une petite voix "votre aventure s'achève ici." mais à la place j'ouvre les yeux au son d'une mouette rieuse. I'm alive ! Est-ce ma créature qui m'aura suivi et aidé ? Je suis frigorifié, affamé, perdu... Peut-être cette mort douloureuse est-elle inutile ? Je veux croire le contraire et note précieusement les contour de l'archipel visité. Je prend des décisions à l'intuition, à l'économie. Je veux survivre !
Quelques temps plus tard, avec une chance incroyable, je me traine sur une plage abondante de poisson, de trouvailles, de plantes. Un eden ? Je reprend lentement des forces.
Oh ! Je n'irai pas bien loin, c'est certain. Mais lorsque je mouru dans les affres de ma malédiction quelques lieux plus loin, quelle satisfaction ! J'avais retrouvé ma route, atteint la vallé et mon but.
Rest In Peace, Victor.
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Un parcours incroyable !
Ne lâchez rien, même au point de mourir ! Des ressources insoupçonnées pourraient vous sauver !